D'après une étude du MIT, l'augmentation des gaz à effet de serre modifie la thermosphère terrestre, et entraîne une diminution de la densité de l'air à haute altitude. Conséquence : les débris spatiaux restent en orbite plus longtemps, et augmentent les risques de collision. Les chercheurs prévoient que cette évolution pourrait diviser par deux la capacité d’accueil des satellites d'ici à 2100.